Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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"90 minutes face à la crise" : le président de la République plaint les Français mais ne s’occupe pas beaucoup d’eux...

06/02/2009 08:12



Paroles, paroles !

Ce soir, en écoutant parler le Président de la République, j’ai pensé à la célèbre chanson de Dalida qui dit "Paroles, paroles, et encore des paroles...".

Nicolas Sarkozy a une fois de plus tenté de nous convaincre qu’il mesure l’ampleur de la crise et qu’il protègera "ceux qui souffrent", "les plus faibles" et les "classes moyennes". Exactement comme il l’a fait il y un an presque jour pour jour, lorsqu’il disait aux salariés de Gandrange en Moselle : "je comprends votre situation", "je ne vous laisserai pas tomber", "je trouverai la solution".

On sait hélas ce qui est advenu et j’espère que Nicolas Sarkozy ne protègera pas les classes moyennes et les plus fragiles d’entre nous comme il a protégé les salariés de Gandrange.

Face à un cataclysme financier et économique d’ampleur inattendue, les Français attendent du Président de la République autre chose que des paroles de compassion, assorties de quelques annonces de timides mesures.

Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste et républicain Debout la République






Plan Fillon : trop peu, trop tard

03/02/2009 15:44



Dans les périodes de crise on reconnaît la valeur des dirigeants à leur capacité à prendre en compte la nouvelle donne et donc à ne pas hésiter, autant que nécessaire, à changer à la fois de rythme et de cap.

L’interview dans le Monde d’hier soir du Premier ministre m’a paru édifiant, puisqu’il s’intitule justement, complètement à tort hélas : « Rien ne serait pire qu’un changement de cap ». Je regrette profondément de voir François Fillon, dont je reconnais la grande valeur personnelle, s’enfermer à ce point dans de fausses certitudes.

A la lecture de ses déclarations, on comprend aisément pourquoi la France met en œuvre un plan de relance aussi insuffisant qui sera de toute évidence incapable d’empêcher le désastre économique puis social.

Le Premier Ministre manie la langue de bois sur la plupart des sujets :

Sur l’aide aux banques, François Fillon est trop intelligent pour croire un instant ce qu’il ose affirmer - « il n’y a pas d’aide sans contrepartie » - alors qu’aujourd’hui on s’aperçoit que les 20 milliards d’aides de l’Etat et donc du contribuable servent moins à aider les PME en difficultés mais à offrir des bonus aux traders et des dividendes aux actionnaires. Les nouveaux chômeurs des milliers de PME qui ferment leurs portes apprécieront cette myopie délibérée du Premier ministre.

Encore une fois, seule une participation directe de l’Etat au capital des banques, permettant un vrai contrôle de leur gestion et de leur mobilisation vers les PME et les particuliers, constituerait un moyen efficace de lutter contre la crise du crédit et de veiller à ce que l’argent des Français sert bel et bien à sauver l’économie, plutôt que des dirigeants et des traders qui ne semblent guère avoir changé leurs habitudes. Mais les libéraux au pouvoir s’y refusent, ne voulant pas appliquer à leurs amis ce qu’ils imposent au commun des mortels : la loi d’airain du « qui paie décide ».

Sur la relance par la consommation, là aussi le Premier ministre s’enferme dans un déni de réalité. Certes, il a raison de dire que le plan du PS ne serait pas efficace. En revanche, il a tort de ne pas imaginer d’autres solutions capables d’éviter une récession cumulative. Rien sur une indemnisation supplémentaire pour le chômage technique, rien non plus sur une baisse des charges et d’impôt sur les sociétés pour les entreprises qui réinvestissent leurs profits. Rien pour les collectivités locales qui, dans le budget 2009, sont étranglées financièrement alors qu’elles concourent normalement à 75 % de l’investissement public. Rien enfin sur la mobilisation d’un patriotisme économique en France, afin que nos concitoyens consomment en priorité des produits nationaux et européens, alors que d’autres membres de l’UE (et pas n’importe lesquels !) ne s’en privent pas…

Ce ne sont pas, bien entendu, les 1 000 projets, certes intéressants pour la plupart, annoncés aujourd’hui qui vont éviter la récession ! Et le gouvernement commet une faute tout aussi grave en essayant de « vendre » un plan de 26 milliards d’euros, alors que les Français ont très bien compris qu’il ne s’élevait pas, une fois défalquées les avances sur trésorerie, à plus d’un petit milliard et demi d’euros pour 2009. Une véritable misère (sans doute inspirée par l’absurde discipline budgétaire européenne, tout juste mise au congélateur) lorsque l’on regarde l’ampleur du défi !

Enfin, rien non plus sur le nouvel ordre mondial qui se dessine et notamment la naïveté européenne face à l’utilisation par la Chine, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne de l’arme monétaire comme nouvelle barrière protectionniste.

Réforme de l’euro qui nous étouffe, mise en œuvre d’un protectionnisme européen raisonnable, relance d’investissements scientifiques à grande échelle, baisse de charges massive pour nos entreprises, voilà les urgences. Mais manifestement ces chantiers indispensables de l’avenir sont trop grands pour le Gouvernement de la France qui, décidément, voit petit, joue petit et, comme son tuteur bruxellois, affectionne désespérément le trop peu trop tard. On ne voit pas comment le talent communicationnel de Nicolas Sarkozy pourra inverser la vapeur jeudi soir prochain…

NDA




Commentaire de Patriote 62 (24/02/2009 13:46) :

Un des enjeux de ses élections sera également de ne pas franchir la ligne jaune; il est bien de dire "achetons français" mais il est facile de s'égarer en disant "n'achetons pas étranger". Le protectionisme doit reposer sur des critères sociaux mais également sur des critères écologiques. Il est anormal que nos entreprises qui ont fait et font encore des efforts colosaux pour préserver la planête de nos enfants, se retrouvent sanctionner une fois en concourrence sur le marché.





Sécurité: Respecter la fonction publique

30/01/2009 22:56

Sécurité: Respecter la fonction publique


http://blog.nicolasdupontaignan.fr/index.php/2009/01/30/319-securite-respecter-la-fonction-publique




Au delà de la colère sociale, changer les choses par le suffrage universel

29/01/2009 14:34



Grève générale : face aux replâtrages de l’UMPS, il faut une rupture européenne

Après avoir sous-estimé la crise financière, sous-estimé la gravité de la récession, le gouvernement a sous-estimé le besoin de justice et de dialogue social.

La grève d’aujourd’hui et les manifestations témoignent de l’inquiétude légitime, parfois du désespoir, de millions de Français face à une politique économique et sociale aussi injuste qu’inefficace, comme à l’absence de réponses sérieuses du PS.

Depuis vingt ans la droite comme la gauche nous ont expliqué qu’il n’y avait pas d’autre politique possible que de s’adapter à la globalisation financière et de se soumettre à une construction européenne supranationale qui en est le cheval de Troie. On voit le résultat aujourd’hui.

Au-delà des manifestations, qui constituent un thermomètre mais non un remède en soi, il est temps de proposer aux Français une autre politique qui s’attaque enfin aux racines du mal. Une nouvelle politique communautaire avec un protectionnisme européen raisonnable pour éviter les ravages du libre échange déloyal et une réforme de l’euro. Il faut aussi une nouvelle politique nationale de vraie relance qui favorise l’investissement public comme les entreprises qui relocalisent, mènent une politique sociale favorable aux salariés et investissent massivement dans la science et l’innovation.

Plus que jamais Debout la République proposera une refonte complète et globale pour éviter les replâtrages qui ne mènent à rien.

Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste et républicain Debout la République






Censure, grève, européennes : DLR garde le cap

28/01/2009 19:42

Censure, grève, européennes : DLR garde le cap


Ce n’est pas parce que le gouvernement et l’UMP mènent une mauvaise politique qu’il faut soutenir le PS, qui propose une politique tout aussi mauvaise, bien que différente en apparence.

Voilà pourquoi, tout simplement, je n’ai pas voté la motion de censure. Contrairement à ce que certains peuvent croire, ce n’est pas par timidité politique. J’avais en effet voté sans état d’âme la motion de censure sanctionnant la réincorporation complète de la France dans le commandement militaire intégré de l’OTAN et l’envoi de troupes en Afghanistan. Mais, à l’époque, le PS était clair dans ses propositions, qui rejoignaient les nôtres, ayant tout à coup fait sienne une doctrine gaulliste d’indépendance nationale qu’il avait jusqu’alors toujours combattue.


Ce n’est pas le cas en matière économique aujourd’hui, très loin de là. Le projet de plan de relance du PS est à cet égard affligeant, puisqu’il prône la relance par la consommation sans remettre en cause le libre échange intégral voulu à Bruxelles, lequel rend absurde toute politique de ce type (comme ont beau jeu de le souligner le gouvernement et la majorité).

Ainsi, comme l’UMP, le PS refuse de voir qu’il n’y a pas de redressement possible de la France sans changer le cadre européen. Bien sûr, comme d’habitude, l’approche des élections européennes fait resurgir à sa tête l’éternelle tarte à la crème de « l’Europe sociale ». Mais comment y prêter le moindre crédit ? Comment ignorer la sécession d’une partie du PS, emmenée par Jean-Luc Mélenchon, précisément pour cette raison ?

Comment oublier, en ce qui concerne plus particulièrement l’actuelle première secrétaire du PS, Martine Aubry, les promesses que cette dernière avait faites juste avant la ratification du traité de Maastricht en 1992, et qu’un blogueur associé du site Marianne2.fr vient de rappeler fort à propos : « C’est principalement peut-être sur l’Europe sociale qu’on entend un certain nombre de contrevérités. Et ceux qui ont le plus à gagner de l’Europe sociale, notamment les ouvriers et les employés, sont peut-être les plus inquiets sur ces contrevérités [...] Comment peut-on dire que l’Europe sera moins sociale demain qu’aujourd’hui ? Alors que ce sera plus d’emplois, plus de protection sociale et moins d’exclusion. » (Martine Aubry, 12 septembre 1992, Béthune). CQFD…

Debout la République garde le cap, face à une UMP et un PS qui ne veulent pas, chacun à leur façon, remettre en cause le cadre européen. Un cadre européen qu’ils ont infligé au peuple français contre sa volonté, qui prive le pays de toute marge de manœuvre pour se redresser, mais qu’ils n’ont, bien entendu, pas le courage ni la franchise d’assumer !

C’est ainsi, en évitant le piège d’un front commun avec un PS en réalité d’accord avec l’UMP sur l’essentiel, que nous serons pleinement en mesure de proposer aux Français une autre Europe le 7 juin.

Quant à la journée d’action du 29 janvier, elle exprime le ras le bol légitime des salariés et mérite compréhension et même soutien. Chaque membre de Debout la République peut donc s’y rendre sans se laisser instrumentaliser par quiconque et en laissant de surcroît le mouvement syndical s’exprimer sans chercher à le récupérer.

Jouons notre rôle de parti politique en faisant connaître nos solutions concrètes pour sortir de la crise. Des solutions fortes que nous avons proposées il y a déjà des mois. Des solutions qui vont aux racines des problèmes. Des solutions cohérentes et globales, bien loin du bavardage des deux partis dominants, de leurs alliés et de leurs faux opposants.
NDA





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